Entièrement réalisé et animé par Sebastien Laudenbach, La jeune fille sans mains s’est fait remarquer dans de nombreux festivals depuis le festival d’Annecy jusqu’à Bucheon en Corée du Sud. Alors que le film sort en salles distribué par Shellac, il est important de revenir sur cette adaptation relevée de ce conte de Grimm dont je vous en avais d’ailleurs fait la critique lors de la fête du cinéma d’animation en octobre dernier.
[message]En des temps difficiles, un meunier vend sa fille au Diable. Protégée par sa pureté, elle lui échappe mais est privée de ses mains. Cheminant loin de sa famille, elle rencontre la déesse de l’eau, un doux jardinier et le prince en son château. Un long périple vers la lumière…[/message]Lors du dernier festival d’Annecy, Coralie a eu la chance d’échanger avec Sébastien Laudenbach lors d’un long interview. Ils ont notamment parlé du challenge de concevoir un film d’animation seul, de la puissance symbolique des couleurs et de la construction des personnages dans l’univers des contes. Profitez de ce dossier complet autour de La jeune sans mains, cette oeuvre affronte actuellement en salles les mastodontes du milieu (oui, la Souris, c’est de toi que je parle !), alors donnez lui sa chance !