Après la première partie de la série Resident Evil : Infinite Darkness, diffusée sur Netflix et qui s’était révélé une bonne surprise, ce Resident Evil : Death Island fait suite au pourrigolo Resident Evil : Vendetta et nous propose un pitch qui semble inspiré du désormais classique de l’action Rock de Michael Bay.
L’agent de la D.S.O. Leon S. Kennedy est en mission pour sauver le Dr Antonio Taylor de ravisseurs lorsqu’une femme mystérieuse contrecarre sa poursuite. Pendant ce temps, l’agent du B.S.A.A. Chris Redfield enquête sur une épidémie de zombies à San Francisco, où la cause de l’infection ne peut être identifiée. La seule chose que les victimes ont en commun est qu’elles ont toutes récemment visité l’île d’Alcatraz. Suite à cet indice, Chris et son équipe se dirigent vers l’île, où de nouvelles horreurs les attendent…
On doit l’animation et le look de Resident Evil : Death Island à Quebico, qui était déjà à l’œuvre sur Infinite Darkness et avait fait un travail très honnête, comme pour le réalisateur Eiichirō Hasumi, tandis que le scénario est à nouveau dû à Makoto Fukami (Psycho-Pass, mais surtout Resident Evil : Vendetta), ce qui nous promet de la belle déglingue narrative.

De retour dans ce film, Claire Redfield, Jill Valentine, le beau gosse alcoolique fonctionnel Leon S. Kennedy, l’armoire à glace Chris Redfield mais aussi l’arrivée de Rebecca Chambers, donc un groupe complet qui défouraille de l’infecté pour la première fois tous ensemble à l’écran dans un film de la franchise.
Sony Pictures Home Entertainment distribuera Resident Evil : Death Island dans le monde entier, à l’exception du Japon, où le film est prévu pour une sortie le 7 juillet. Pas de date pour la France, mais sachez que je suis impatient de voir le résultat !